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1.        Éprouver l’amour  

Tandis qu’en 1926 le couple Arp-Arp-Taeuber finalise le ciné-dancing de l’Aubette à Strasbourg, le spectacle d’Emilie Pitoiset, Where did our love go, transforme Bozar en espace de compétition cruelle à laquelle participent deux couples, enlacés, qui danseront sans s’interrompre jusqu’à minuit. L’artiste s’inspire des phénomènes de danse collective ou populaire comme les marathons qui fleurissent aux Etats-Unis à l’époque de la Grande Dépression.  

2.        Entrer dans la danse 

Le 26 septembre, Bozar clôture son Opening Week de manière festive et se veut un antre magique de la modernité. Laissez-vous emporter par l’euphorie dada : au cœur du Hall Horta baigné dans un DJ set enivrant, la soirée vous appartient.  

3.        Découvrir un spectacle coloré, tragi-comique aux allures d’avant-garde 

Créée en 2021, la performance Eurêka, c’est presque le titre est un joyeux hommage à la créatrice de costumes et de décors qu’était entre autres Sophie Taeuber-Arp.  L’artiste suisse Marie-Caroline Hominal y associe la danse aux formes abstraites pour faire vivre des figures fabuleuses et fantastiques à l'aide de gestes et d'un répertoire de mouvements tirés de la culture populaire.  

4.        Plonger dans l’inconnu familier  

La marionnette de Latefa Wiersch installée au centre de la Rotonde Royale convoque le vocabulaire du dadaïsme zurichois. L’installation est une variation de la performance unknowing, unearthing créée en 2024 à Zürich. Latefa Wiersch mêlent corps, mouvement, son, texte, costumes et marionnettes dans un jeu de transformations et d’échanges de rôles, il ne vous reste qu’à nous rejoindre pour découvrir comment ces éléments se réinventent et révélent des perspectives inattendues.